mercredi 10 décembre 2025

Une visite en carrosse...

"Magdalena von Horwitz lui adressa un petit signe de la main, avant qu’un valet ne saute de l’arrière du carrosse pour déplier le marchepied, ouvrir la portière et aider la visiteuse à descendre."

Extrait de La promesse du temps – Les chroniques de Rosling - 3, par Bernard Grandjean, aux Éditions du 38.

À commander à votre libraire ou à retrouver ici, (en broché ou numérique) ou sur les sites marchands :

https://www.editionsdu38.com/fr/39-romance

Illustration : Diorama de figurines au 1/72° réalisé par le maquettiste Tom Dye.

 


 

 

vendredi 5 décembre 2025

Une charmante aigrette...

« Luise admira sa robe à paniers d’un blanc nacré, brodée de fleurettes et de rinceaux de feuillages. Son chignon s’ornait d’une charmante aigrette de duvet rose. »

Extrait de La promesse du temps – Les chroniques de Rosling - 3, par Bernard Grandjean, aux Éditions du 38. À commander à votre libraire ou à retrouver ici, (en broché ou numérique) ou sur les sites marchands :

https://www.editionsdu38.com/fr/romance/610-les-ombres-du-chateau-les-chroniques-de-rosling-2.html

Illustration : Portrait d'une jeune fille, de Gaetano Gandolfi, peint en 1766-67 - Pinacothèque Nationale de Bologne. Le modèle passe traditionnellement pour être l’épouse de l’artiste. Cette peinture raffinée s’inscrit dans la ligne des grands peintres vénitiens.

 


 

 

 

lundi 1 décembre 2025

Alerte enlèvement !

"En arrivant, elle remarqua que la vieille n’était plus là, mais elle ne fit pas attention à la voiture arrêtée à hauteur de la boutique, ni aux deux hommes campés devant. Elle ne comprit pas ce qui lui arrivait quand des mains l’empoignèrent tandis qu’on lui passait un sac sur la tête. Sans même avoir le temps d’appeler à l’aide, elle fut jetée dans la voiture qui démarra sèchement, dans un claquement de fouet."

Extrait de Les ombres du château – Les chroniques de Rosling - 2, par Bernard Grandjean, aux Éditions du 38.

À commander à votre libraire ou à retrouver ici, (en broché ou numérique) ou sur les sites marchands :

https://www.editionsdu38.com/fr/39-romance

Illustration : Porte sculptée du XVIIIe siècle au musée Heylshof à Worms (Allemagne).

 


 

 

Séquence nostalgie !

Une cousine et moi nous amusions au téléphone à faire la liste des vêtements courants dans notre enfance, mais devenus à présent plus rares. Sans remonter au costume marin, nous avons trouvé :

-       - Le Méphisto, sorte de cagoule pour bébé, sans doute avec une découpe en pointe sur le front, d’où son nom.

-       - Le passe-montagne, indispensable pour les batailles de boules de neige de mon enfance, largement disparu (remplacé par le bonnet ou le capuchon de l’anorak).

-      -  La blouse grise, qui nous tenait lieu d’uniforme scolaire, au moins pour les garçons.

-       - Les chnobottes (mot dérivé de l’anglais snow-boots), des chaussures en caoutchouc fermées par un bouton pression, qu’on portait comme le nom l’indique les jours de neige. (Ça existe encore au Canada, en surchaussures).

-       - La pèlerine, que la plupart des enfants français de ma génération portaient pour aller à l’école, en général de couleur bleu marine, avec fentes latérales pour passer les mains.

-       - Le béret, cet objet de séduction féminine imposé par Marlène Dietrich, plus rare de nos jours. J’ai encore celui que portait ma mère dans les années 1930… Le béret basque, pour homme, s’est longtemps maintenu, mais à présent, je n’en vois plus curieusement que sur la tête d’artistes ou intellectuels allemands.

-       - La canadienne, au moins dans sa version "vintage".

-       - Le cache-nez, qui existe bien sûr toujours, mais qu’on voit moins, les manteaux étant largement supplantés par les doudounes à capuchons qui le rendent inutiles.

On pourrait longtemps continuer la liste ! Mais c’est sans regret, les vêtements actuels étant de mon point de vue bien plus commodes. Une fois de plus, ce n’était pas mieux avant !

 





 

jeudi 27 novembre 2025

À propos d'une photo scolaire de 1904...

J’adore cette photo extraite d’un vieil album de famille. Pas de noms, pas de lieu, juste une date, portée au dos au crayon de papier : 1904. Pas de sabots ou de galoches, que des bottines, de jolies robes et des cols en dentelle ; plus sûrement une classe d’un collège privé pour enfants de la bourgeoisie qu’une école publique. Impressionnant comme les expressions des visages et les attitudes des corps semblent déjà trahir les personnalités : on devine la fière, la modeste, la timide, l’audacieuse, la résignée… J’aime bien la jolie petite brune au centre, avec sa robe à trois liserés blancs horizontaux : quel regard ! Et aussi celle qui guette derrière la fenêtre de droite, et qui est peut-être ravie d’avoir «volé» une place sur la photo ! Une quinzaine de vies en herbes dont je ne saurai sans doute rien, sinon que dans dix ans, la guerre viendra, pour beaucoup d’entre elles, briser leurs amours, leurs espérances, peut-être leur vie. Mystère du temps, et des romans qui restent à écrire…


 

 

 

 

  

mardi 25 novembre 2025

La reine fantasque...

"Avertissement.

Ce petit conte écrit anciennement et par une sorte de défi., n’avait point encore été imprimé que je sache. Il y a sept ou huit ans que plusieurs amis de M. Rousseau en eurent des copies qui se multiplièrent à Paris et en province ; il m’en est tombé entre les mains une des moins défigurées. Je ne crois pas que l’auteur me sache mauvais gré d’imprimer une folie déjà connue, et qu’il a livrée au public lui-même depuis longtemps."

Ce passage comporte une note humoristique de l’auteur :

"Il s’agissait d’essayer de faire un conte supportable et même gai, sans intrigue, sans amour, sans mariage et sans polissonnerie."

 

Extraits de La reine fantasque, de J.J. Rousseau, 1762.

Illustration : La visite de l’imprimerie, par le peintre liégeois Léonard Defrance (1735-1805).


 

jeudi 20 novembre 2025

Cadeaux !

 Qu'entend-je ? Vous êtes à la recherche de cadeaux de Noël ? J'ai quelques suggestions !

 



Une fanfaronnade !

Le roi de Prusse Frédérique le Grand a fait construire à Potsdam cet énorme château baroque, le Nouveau Palais, alors que son royaume était largement ruiné par ses guerres incessantes. Il était destiné essentiellement aux réceptions. Le roi souhaitait ainsi faire croire à ses visiteurs étrangers que la situation financière du royaume était optimale... Il disait lui-même de ce château qu'il s'agissait  d'une "fanfaronnade" (en français), ce qui prouve qu'il était lucide avec lui-même !

A noter que les cuisines ont été construites en face, afin que les odeurs ne dérangent pas les hôtes 


 
(Photo de l'auteur) 

 

samedi 15 novembre 2025

Amours féminines...

"En effet, dans son vieux siècle, les amours féminines étaient jugées sans excessive sévérité. On n’y voyait en général qu’une pratique sans conséquences, une simple initiation à la future vie amoureuse des jeunes filles, qui ne pourraient, bien sûr, s’épanouir qu’avec des hommes."

Extrait de La promesse du temps – Les chroniques de Rosling - 3, par Bernard Grandjean, aux Éditions du 38. À commander à votre libraire ou à retrouver ici, (en broché ou numérique) ou sur les sites marchands :

 https://www.editionsdu38.com/fr/romance/610-les-ombres-du-chateau-les-chroniques-de-rosling-2.html

 

Illustration : Jupiter, sous les traits de Diane, séduisant Callisto. Jean-Honoré Fragonard. Huile sur toile, vers 1753. Musée des Beaux-Arts d’Anger.

 


 

 

mardi 11 novembre 2025

Confort !

L'automne s'avance, et voilà qu'on nous annonce le retour de la froidure. Alors retrouvons vite nos habitudes de confort, oubliées le temps d'un été.


 

mercredi 29 octobre 2025

Promenade solitaire...

"Une fois mes emplettes effectuées, je compte remonter aussitôt à Wildbach, remettre mon habit de novice, me recueillir sur le tombeau de mes parents, puis m’en retourner d’où je viens…"

Extrait de La promesse du Temps – Les chroniques de Rosling - 3, par Bernard Grandjean, aux Éditions du 38.

À commander à votre libraire ou à retrouver ici, (en broché ou numérique) ou sur les sites marchands :

https://www.editionsdu38.com/fr/romance/610-les-ombres-du-chateau-les-chroniques-de-rosling-2.html

 

Illustration : La promenade solitaire, par Hubert Robert, 1777 (Source : Sothebys)

 


 

 

samedi 25 octobre 2025

Un scapulaire ?

- Mais, qu’est-ce que je sens, là ?

- Mon autre sein, Altesse. Il est comme le premier fort ordinaire, et il ne mérite aucunement vos caresses.

 - Bien au contraire, ils sont tous deux délicieusement fermes et semblent avoir été arrondis par la main des Grâces ! Mais… il y a autre chose… Qu’est-ce donc ? Un scapulaire ?

Extrait de La promesse du temps – Les chroniques de Rosling - 3, par Bernard Grandjean, aux Éditions du 38.

À commander à votre libraire ou à retrouver ici, (en broché ou numérique) ou sur les sites marchands :

 https://www.editionsdu38.com/fr/romance/610-les-ombres-du-chateau-les-chroniques-de-rosling-2.html

Illustration : La nuit, par Baudouin (détail), Metropolitan Museum of Art de New-York. Pierre-Antoine Baudouin (1723-1769) est un peintre et dessinateur français. Élève de François Boucher (dont il était le gendre), il est considéré comme l’un des maîtres de Fragonard.

 


 

 

lundi 20 octobre 2025

La Résidence

« Elle lui proposa d’aller visiter l’ancienne Résidence du Prince ou l’un ou l’autre châteaux accessibles en transports en commun, mais il refusa : La Résidence, je l’ai déjà revue avec Weber, ça ne ressemble plus à rien ! »

Extrait de LA PROMESSE DU TEMPS – Les chroniques de Rosling - 3, par Bernard Grandjean, aux Éditions du 38.

À commander à votre libraire ou à retrouver ici, (en broché ou numérique) ou sur les sites marchands :

https://www.editionsdu38.com/fr/romance/610-les-ombres-du-chateau-les-chroniques-de-rosling-2.html

 



 


 

 

 

mercredi 15 octobre 2025

Une vieille et vaste demeure...

« Dès que la fortune a commencé à lui sourire, il y a pas mal d’années de ça, Divendra s’est rendu propriétaire d’une jolie maison sur Mount Pleasant Road, dans le quartier de Malabar Hill, une vieille et vaste demeure de style colonial, tapie au cœur d’une petite jungle exotique débordante de palmiers et de fleurs. »

 

Extrait de Rêves brisés à Bollywood, par Bernard Grandjean, aux Éditions du 38.

 

À retrouver en librairie et sur les sites marchands, ou à commander directement chez l’éditeur (livraison ultra-rapide) :

https://www.editionsdu38.com/fr/policiers/608-reves-brises-a-bollywood.html

 

Photo : Mount Pleasant Road (Source : Google Earth).

 

 


 

 

 

 

samedi 11 octobre 2025

Das, la vedette !

J’ai déjà eu l’occasion de rapporter  ici comment, suite au décès de l’éditeur d’origine, j’avais autopublié sur Kindle la biographie romancée de Sarat Chandra Das, espion au Tibet au XIXe siècle pour le compte des Anglais, ceci afin que ce texte, qui m’avait demandé énormément de travail, ne finisse pas à la poubelle. Je précise que j’ai une certaine tendresse pour ce personnage, que j’ai souvent croisé lorsque je m’intéressais au tibétain classique (il est un des pères fondateurs de la Tibétologie), ou encore dans sa ville de Darjeeling, où j’ai bien des fois séjourné.

Inutile de dire que le livre se vend très peu, le sort épouvantable du Tibet, pays souverain jusqu’en 1950, envahi, colonisé et martyrisé par la Chine, n’étant pas digne de retenir l’attention de nos professionnels de l’indignation. Je ne vérifie donc pas le niveau des ventes sur Amazon tous les jours ! Or, je découvre qu’il vient de s’en vendre 42 exemplaires en une seule journée ! Un nouveau mystère du Tibet ?

 


 

 


 

mercredi 8 octobre 2025

Dansons....

" Parvenus au centre de la salle, tous deux prirent position face à face. Sur un signe du Prince, les musiciens attaquèrent avec entrain un air de sarabande de Händel, une danse lente à trois temps dont par chance Luise se souvenait plus ou moins des pas… "

Extrait de LA PROMESSE DU TEMPS – Les chroniques de Rosling - 3, par Bernard Grandjean, aux Éditions du 38.

À commander à votre libraire ou à retrouver ici, (en broché ou numérique) ou sur les sites marchands :

https://www.editionsdu38.com/fr/romance/610-les-ombres-du-chateau-les-chroniques-de-rosling-2.html

Illustration : figurines en porcelaine de Meissen, Musée du château de Neuburg (Bavière). Photo de l’auteur.


 

 

vendredi 3 octobre 2025

La machine à remonter le temps...

Qui d’entre nous n’a jamais rêvé de mettre en marche la machine à remonter le temps ? Croiser Marie-Antoinette dans le parc de Versailles, ou, pour les romantiques, Jane Austen dans les très chics rues de Bath ? Ou encore, se glisser dans une folle soirée Belle Époque au Palais Rose de l’extravagant Bonny de Castellane ?

 Ce fabuleux carambolage, c’est ce qui arrive à mes personnages, Luise von Wildbach et ses amis. Ils vont et viennent entre notre siècle et le XVIIIe, s’entrecroisant dans la série des «Chroniques de Rosling» dont le troisième épisode, «La promesse du temps», vient de paraître. Et la fantastique machine, me demanderez-vous, comment fonctionne-t-elle ? Eh bien, ici, pas de mécanismes à robinets chromés et tuyaux de cuivre à la Jules Verne ni de lunettes de vision supra-temporelle : juste de la volonté et de l’amour !

Si les expériences limites vous tentent, je vous conseille de commencer par les deux premiers tomes de la série, compte tenu des personnages récurrents. Ils ont été publiés sous les titres «La demoiselle de Rosling» et «Le voyage de Ziska», avant d’être réédités dans le cadre des Chroniques de Rosling avec de nouveaux titres : «La grotte de Pan», suivi des «Ombres du château». Vous pouvez les commander chez votre libraire habituel, ou les acheter, en broché ou en numérique, directement à l’éditeur, les Éditions du 38 

https://www.editionsdu38.com/fr/ 

ou encore sur les sites marchands.

Alors, prêts pour le voyage ? Dans ce cas, coiffez votre tricorne, ou ajustez les plis de votre robe à la Watteau…

 


 

 

vendredi 26 septembre 2025

Une certaine obsession du XVIIIe siècle...

Certains historiens d’art affirment, non sans raison, que le XVIIIe siècle fut obnubilé par… les fesses ! Il est vrai que les peintres nous en montrent beaucoup, les plus célèbres étant certainement celles de la jeune Marie-Louise O'Murphy, délicates fraises à la crème rehaussées d’une pointe de vanille, peintes par François Boucher en 1752.

Disons-le tout net, la fesse rococo est appétissante, rose et voluptueuse ; elle n’a rien de commun avec la fesse néo-classique, ferme et tout en muscle.

On rapporte que Fragonard avait eu cette exclamation : « Je peindrai avec mon cul » ! Qu’on ne s’y trompe pas, cette déclaration apparemment choquante est d’abord une affirmation artistique. Fragonard faisait savoir par là qu’il souhaitait réaliser une peinture sensorielle et corporelle plutôt qu’une peinture intellectuelle, cérébrale. Peut-être avait-il conscience d’être le dernier d'un temps sur le déclin ? Le néo-classicisme à la Jacques-Louis David, la Révolution et l’Empire vont le renvoyer, avec Boucher et tant d’autres, au rayon des souvenirs d’une autre époque…

Illustrations :

-       Jean Frédéric Schall : La Comparaison, huile sur toile,1789, 40 x 32 cm, Musée du Louvre, Paris. Certes, on peut hausser le niveau, et voir dans cette toile une confrontation entre beauté humaine et beauté divine (la statue centrale est la Vénus Farnese). Même si Schall ne suscite pas toujours des pensées aussi élevées…

-       La Vénus Farnèse ; Museo Archeologico Nazionale, Naples. « La Vénus Callipyge hellénistique (…) au déhanchement séducteur, relevant sa draperie sur deux hémisphères parfaits à la blancheur attirante et (mais la tête est un ajout du XVIe) coulant un regard narcissique et aguichant vers ses attraits postérieurs » (Extrait du Blog du Monde « Amateur d’Art, par Lunettes Rouges », 14 janvier 2011).

-       …Et bien sûr, juste pour le plaisir, l’immortelle petite Marie-Louise O’Murhy… (François Boucher, l’odalisque blonde, 1752, Alte Pinakothek, Munich).

 




 

"Un périlleux exercice d’équilibrisme…"

" Il s’entend à merveille avec (son cheval), qu’un simple claquement de langue ou une infime pression des genoux suffisent à diriger. Il est doux, ce qui fait que pour un homme tel que lui, qui n’est pas un cavalier émérite, enfourcher Hector ne revient pas à se risquer dans un périlleux exercice d’équilibrisme…"

Extrait de "Alauda, l’alouette qui faisait danser les ours", par Bernard Grandjean, aux Éditions du 38. Ce « polar gallo-romain » est à commander chez votre libraire, ou à retrouver sur les sites marchands et chez l’éditeur :

https://www.editionsdu38.com/historique/503-alauda-l-alouette-qui-faisait-danser-les-ours.html

Illustration : Reproduction d’une selle romaine "à cornes" du 1er siècle, fabriquée par Yves Ruttimann (spécialiste suisse de reconstitutions militaires romaines), conformément aux informations historiques les plus actuelles.

Les Romains ne connaissaient ni les selles à pommeaux ni les étriers. Ceux-ci ne se généraliseront guère en Europe avant l’an mille, bien qu’ils aient été utilisés plus tôt par des peuples d’Asie Centrale et de Sibérie. Le bonnet rouge posé sur la selle était porté sous le casque, et les deux pièces métalliques rondes servaient à protéger les yeux du cheval durant les combats.

 


 

 

lundi 22 septembre 2025

Operazione Grande Veicolo !

Reçu de O Barra O Edizioni mes exemplaires de "Operazione Grande Veicolo" (Opération Grand Véhicule). Toujours un plaisir et une émotion, pour un auteur !

 


 

vendredi 19 septembre 2025

Sur le limes...

"... Ils rêvent d’un empire qui s’étendrait de la Narbonnaise jusque très loin vers le nord et vers l’est, intégrant une multitude de peuples barbares et les territoires infinis d’au-delà du limes… "

Extrait de Alauda, l’alouette qui faisait danser les ours, par Bernard Grandjean, aux Éditions du 38.

Le limes est très présent dans mon "polar gallo-romain"... À retrouver ici :

https://www.editionsdu38.com/fr/historique/503-alauda-l-alouette-qui-faisait-danser-les-ours.html 

 ou encore ici:

https://www.amazon.fr/Alauda-Lalouette-faisait-danser-ours-ebook/dp/B0C7L9H6QN 

Photos : La ville de Weissenburg, en Bavière, était à son origine un poste romain sur le limes, la frontière fortifiée séparant l'empire romain des tribus "barbares". Elle en conserve le souvenir, y compris par un musée dédié (photos prises par l’auteur en août dernier).

 





 

 

Une visite en carrosse...

"Magdalena von Horwitz lui adressa un petit signe de la main, avant qu’un valet ne saute de l’arrière du carrosse pour déplier le march...