mercredi 22 décembre 2021

Colla di Parma !

Colle de Parme ! Amusante caricature du peintre franco-suisse Philippe-Jacques de Loutherbourg, né à Strasbourg en 1740 et installé à Londres. On y voit le compositeur d'opéra Giuseppe Colla (né à Parme en 1731, décédé en 1806), occupé à placer avec application un faux postérieur à une jeune femme qui ressemble trait pour trait à la cantatrice Lucrezia Agujari (appelé La Bastardella), à laquelle il doit une grande partie de son succès...



 

lundi 13 décembre 2021

T'as donc pas de bas ?

— ... Mais… t’as donc pas de bas non plus ?

— Je n’en porte que l’hiver !

— Seigneur Dieu, c’est-y possible ? Tu vas jambes nues ?

 

Extrait de Le voyage de Ziska, aux Éditions du 38.

 

 https://www.amazon.fr/voyage-Ziska-Incursions-temporelles-ebook/dp/B082316PT2/ref=sr_1_1?_encoding=UTF8&keywords=Le+voyage+de+Ziska+Bernard+Grandjean&linkCode=xm2&qid=1574963443&s=books&sr=1-1


 

 


 Louis-Léopold Boilly (1761-1845)

 

 

mercredi 8 décembre 2021

Source d'inspiration

Dans la série des personnages anonymes tirés de mes vieux albums photos familiaux, je vous présente cette fois une jeune fille blonde aux yeux bleus, aux traits énergiques et au regard décidé, avec un petit air rusé.

Elle porte une robe à la mode des années 1870, avec pompons et "tournure", structure rigide donnant de l’ampleur à la robe et mettant en valeur la finesse de la taille, accentuée par le corset. La tournure, qu’on appelait familièrement faux-cul, fut très en vogue entre 1869 et 1888, ayant succédé à l’encombrante crinoline. Difficile de préciser la couleur de la robe, mais elle a toutes chances d’être bleue ou verte, des couleurs à la mode en France sous le second Empire. Du fait de la tournure, la jeune fille ne peut s’assoir que tout au bord de la chaise du photographe, dans une attitude commune aux photos de femmes sous Napoléon III (c’était pire avec la crinoline, qui obligeait souvent à utiliser deux chaises placées côte-à-côte).

La coiffure massive présente l’avantage d’équilibrer la silhouette ; elle est formée d’une tresse épaisse, la fameuse "tresse impériale" très à la mode à l'époque ; le reste de ses cheveux est relevé, le tout étant maintenu par un étroit bandeau orné de perles.

Outre ces perles, on n’aperçoit que deux bijoux : un bracelet au poignet droit, en écaille ou en or, et on devine à son col une broche, ou un camée. Elle ne porte pas de boucles d’oreilles. Cette modestie tendrait à indiquer qu’elle est encore célibataire.

Le dos de la photo ne porte pas de mention manuscrite, seulement l’inscription : "L. Marin, Photographe rue St-Dizier N° 77, en face le marché " (un photographe actif à Nancy dans les années 1870).

Comme toujours, cette vieille photo m’inspire, et me donnent envie de raconter une histoire dont je ne sais rien, mais dont je vois déjà clairement une foule de détails !

 





lundi 6 décembre 2021

Coup de fatigue...

"Émergeant de ses réflexions, la jeune fille ne put s’empêcher de lui avouer ce qu’elle ressentait :

— Je dois être fatiguée, car subitement je vous trouve beau et non dénué de qualités…"

Extrait de Bernard Grandjean, "La demoiselle de Rosling", aux Éditions du 38.
 
 
 

Illustration: l'actrice Elle Fanning dans "The Great", 
série créée par Tony McNamara sur la vie de Catherine de Russie.

mercredi 1 décembre 2021

Vieilles photos inspirantes...

Le temps est si moche que si on le peut, mieux vaut rester au coin du feu  à feuiller les vieux albums de famille... 

Je tombe sur  deux mystérieuses photos datées de 1909 :

L’une présente une jeune fille (à la jupe étonnamment courte pour l'époque) assise dans l’encadrement d’une fenêtre étrange. On dirait Raiponce sans sa natte, à un balcon qui se serait trompé d’étage, puisqu’on est au rez-de-chaussée. Sur l’autre photo, la même jeune fille montre  un livre à une dame plus âgée (sa mère ?), près de laquelle se tient semble-t-il un jeune homme (à peine théâtralisée, la scène !). 
Je ne sais pas qui sont ces gens, qui ne semblent pas faire partie de la famille ; peut-être la jeune fille est-elle une amie de la grand-mère de ma femme ? Le vieil album ne comporte aucune précision, sauf  une date, septembre 1909, et un nom, Castel Rey.

J'ai interrogé Google, qui m’a aussitôt dirigé vers un luxueux hôtel-chambres d’hôtes pour mariages, Castelrey, situé dans le Sud de la France, près de la ville d’Agen. J’ai même retrouvé une photo de la fenêtre de 1909, à peu près inchangée ! J'ignore à qui ce château appartenait en 1909. Les gens de la photo en étaient-ils les propriétaires ? Ou plus vraisemblablement des invités ?
Ces questions titillent l'imagination : y a-t-il là un point de départ pour un nouveau roman de ma série "Incursions temporelles" aux Éditions du 38 ? Les vieilles photos sont tellement inspirantes…
 


 Admirez l'audacieuse robe courte pour l'époque !

 
La même fenêtre un siècle plus tard...


 
Castel Rey aujourd'hui.


mardi 30 novembre 2021

À travers l'alpage...

" Elle montait à travers l’alpage à pas vifs, tête basse, désespérée et pressée de tout laisser derrière elle…"

Extrait de Le voyage de Ziska, aux Éditions du 38.

https://www.amazon.fr/voyage-Ziska-Incursions-temporelles-ebook/dp/B082316PT2/ref=sr_1_1?_encoding=UTF8&keywords=Le+voyage+de+Ziska+Bernard+Grandjean&linkCode=xm2&qid=1574963443&s=books&sr=1-1

Illustration : toile de Ferdinand Georg Waldmuller, 1838.


 


lundi 29 novembre 2021

Un jeune homme d'autrefois

En découvrant cette photo d’un inconnu dans un vieil album de famille, j’ai tout de suite pensé au "jeune homme" de François Mauriac ("Paul Drouot était ce jeune homme d’avant la guerre dont l’espèce semble presque perdue… ")

L’expression de son visage m’est peu lisible : arrogance, ironie, ennui, inquiétude ? La photo n’est pas datée, mais elle me semble antérieure à la guerre de 14-18 : coiffure avec raie au milieu, veston rayé, culotte, bottines, et ces bandes molletières, qui semblent annoncer tragiquement la boucherie à venir - ou qui en sont le souvenir si la photo est des années 1920...

Face à ce genre de cliché, on imagine des vies, on se prend à tracer les grandes lignes d’un roman…


 

vendredi 26 novembre 2021

Balade sans bouger de chez soi.

Bien sûr, on peut voyager par les livres. Mais aussi par la cuisine, comme on le sait tous. Exemple : vous souhaitez, malgré le covid 19 qui rôde, faire une ballade aux confins de la verte Bavière et du joyeux Tyrol ? Dans ce cas, je vous conseille la lecture de La demoiselle de Rosling et du Voyage de Ziska. Une autre approche, très agréable également : se préparer un délicieux Kaiserschmarrn, avec de la compote de pomme, plus un bon chocolat chaud ! 



jeudi 18 novembre 2021

Une gare au pied de l'Himalaya

" ... Ce n’est qu’au milieu de la journée du surlendemain qu’ils atteignirent enfin New-Jalpaiguri, au pied de l’Himalaya..."

 

Extrait de Le Talisman tibétain, aux Éditions du 38.

Photo : la gare de New-Jalpaiguri Junction – Photo de Kewal Rai, Photography Club of Sikkim.

 

 

 


 

mardi 9 novembre 2021

Voyage au vieux Tibet

Ci-dessous, une vue du monastère tibétain de Ankur Gompa, prise en 1925 par le botaniste et explorateur autrichien Joseph Rock. 

Si vous souhaitez retrouver le "vieux Tibet", c'est ici :

https://www.amazon.fr/dp/B07MJHG28T/ref=sr_1_1?s=amazon-devices&ie=UTF8&qid=1547100655&sr=8-1&keywords=Moi%2C+Das%2C+espion+au+Tibet 




lundi 8 novembre 2021

Avec ses longues cornes effilées...

"Avec ses longues cornes effilées et ses poils hirsutes, il donnait une redoutable impression de force et de sauvagerie..."

 

Extrait de La vallée du yak sauvage, aux Éditions du 38.

 
 

 Photo Jampel Dorjee, Photography Club of Sikkim.

mardi 26 octobre 2021

Maisons en bois...

"Les maisons des plus riches étaient construites en dur, mais au fil des moussons, le béton prenait des couleurs douteuses qui lui déplaisaient. Il aimait la belle teinte de bois vieilli de la sienne et préférait encore l’odeur des planches moisies à celle du ciment humide"

 

Extrait de Le Talisman tibétain, aux Éditions du 38.

Photo : Kuldeep Mukhia, Photography Club of Sikkim.

 


 

mardi 12 octobre 2021

Respirer...

— Je vous prie de défaire les boutons de ma robe et de dénouer mon corps baleiné. J’ai besoin de mieux respirer ! 

— Je suppose que vous voulez parler de votre corset ?

— Appelez ça corset si vous voulez ! 
 
Extrait de Bernard Grandjean, La demoiselle de Rosling, aux Éditions du 38.
Illustration : La comtesse Maria Potocka, par Elisabeth Vigée le Brun.
 
 
 

 

vendredi 1 octobre 2021

Terminus !

Dans la série "enrichissons notre vocabulaire"... 

Au XVIIIe siècle, les parcs des châteaux s'ornent parfois de sculptures du type ci-dessous (celle-ci photographiée par l'auteur dans la parc Luisium, près de Dessau en Allemagne). Ces sculptures présentent une tête, ou un buste - généralement masculin - s'extirpant d'une gaine de pierre. Cela s'appelle en français un "terme", mot formé sur le nom du dieu romain des bornes, Terminus (en allemand, le mot employé est Herme, formé sur le nom du dieu Hermes). On retrouve ce motif en saillie sur les façades des bâtiments néo-classiques. Terminus était un dieu gentil et très aimé, car il évitait les conflits entre voisins.

Voilà, le cour est fini, tout le monde descend !


 

mercredi 22 septembre 2021

Il suffit de passer le pont...

Le petit pont bossu, lancé sur un ruisseau, un bras d'eau ou un canal, est au XVIIIe siècle un élément courant du décor d'un parc (ici celui de Wörlitz en Allemagne - photo de l'auteur). Mais il ne sert pas qu'à la promenade, il incite à la réflexion ; car il possède une signification philosophique bien connue à l'époque: d'abord on monte, puis on atteint un sommet, et enfin on redescend ... l'image même du parcours de l'homme de la naissance à la mort !


 

jeudi 16 septembre 2021

Work in progress...

Finies les vacances... Comme cette page est silencieuse depuis un certain temps, voici quelques nouvelles :

J’ai commencé il y a longtemps un troisième roman de la série "Incursions temporelles", publiée par les Éditions du 38. Ces romans mêlent allégrement les époques, la nôtre et le XVIIIe siècle pour les deux premiers. L’action de celui-ci se situe entre notre temps et le début du XXe siècle, pour l’essentiel dans ce lieu mythique de la pensée européenne que fut la colonie anarchiste, communiste, philosophique, naturiste et végétarienne (tout ça, et plus encore !) de Monte Verita. 
Mais après plusieurs versions, et un nombre incalculable d’heures de travail, ce roman ne me paraît toujours pas parvenu à maturité… Pour me décontracter, je le laisse reposer, en profitant de la récré pour écrire tout autre chose, un roman policier ... gallo-romain. Les héros en sont un médecin militaire retiré du service et une jeune fille nommée Alauda (l’alouette à la fois en langue latine et en langue gauloise); l'action se situe dans la région de la ville de Vesontio (l'actuelle Besançon, département du Doubs, France). J’arrive au bout, et je suis impatient de le relire d’une traite, histoire de vérifier si l’histoire a un intérêt…
 
 

 
 

dimanche 1 août 2021

Un style plaisant...

 "L’ensemble était d’un style plaisant, oscillant entre Tibet, Bhoutan et Népal, propre à combler les touristes..."

Extrait de "Panique à l’hôtel Kangchenjunga" (série Crimes en Himalaya), publié aux Éditions du 38.

Crédit photo : Anzo Insaan, Photography Club of Sikkim.

 

https://www.amazon.fr/Panique-lh%C3%B4tel-Kangchenjunga-Crimes-Himalaya-ebook/dp/B07XZP46TN/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&keywords=panique+%C3%A0+l%27h%C3%B4tel+kangchenjunga&qid=1572003970&s=books&sr=1-1 

 


lundi 19 juillet 2021

Partie de cartes.

 

"Je préfère jouer aux dames avec toi, chuchota-t-il, plutôt qu’aux cartes avec Xaver et Magdalena, qui trichent autant l’un que l’autre, et le vieil Ambros qui confond les couleurs..."
 
Extrait de "Le voyage de Ziska", aux Éditions du 38.
Illustration : Jean Honoré Fragonard – Le salon d’Aline, marquise de Castelmont - The Metropolitan Museum of Art.

https://www.amazon.fr/voyage-Ziska-Incursions-temporelles-ebook/dp/B082316PT2/ref=sr_1_1?_encoding=UTF8&keywords=Le+voyage+de+Ziska+Bernard+Grandjean&linkCode=xm2&qid=1574963443&s=books&sr=1-1


 

dimanche 18 juillet 2021

Chère lectrice...

 Commentaire récent d'une lectrice sur "le talisman tibétain": 

"J’ai adoré ce livre pour plusieurs raisons. L’histoire est bien écrite, l’aspect thriller est bien amené . Et aussi parce que cela se passe près du Tibet dont le coté historique est fidèlement décrit . Les détails concernant la vie sociale et religieuse des tibétains m’a plu.
Je recommande ce livre. "

 Tou-djé-tché! Merci, chère lectrice ! 

https://www.amazon.fr/talisman-tib%C3%A9tain-Crimes-Himalaya-ebook/dp/B075LLQV4L/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1505548475&sr=1-1&keywords=le+talisman+tib%C3%A9tain 




jeudi 1 juillet 2021

Des paysages merveilleux...

"Ils traversaient des paysages merveilleux, qui expliquaient pourquoi le nom ancien du Sikkim était Draidzong, en tibétain La Forteresse du Riz : sur les pentes des collines s’étageaient des rizières…"

Extrait de "Panique à l’hôtel Kangchenjunga" (série Crimes en Himalaya), publié aux Éditions du 38.

Crédit photo : Wangyal Dorjee Barfungpa, Photography Club of Sikkim.

 

https://www.amazon.fr/Panique-lh%C3%B4tel-Kangchenjunga-Crimes-Himalaya-ebook/dp/B07XZP46TN/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&keywords=panique+%C3%A0+l%27h%C3%B4tel+kangchenjunga&qid=1572003970&s=books&sr=1-1 

 
 

dimanche 13 juin 2021

Inspiration...

Le libertin XVIIIe siècle est une source d’inspiration inépuisable pour les illustrateurs. Des dessinateurs célèbres, comme Barbier ou Louis Icart, ont largement exploité le filon.

Plus sagement, le "beau siècle" reste aussi très inspirant pour les illustrateurs de contes.

 






mercredi 2 juin 2021

Le stupa se dressait...

"Le stupa se dressait au sommet de la crête, au milieu d’une forêt de mâts de bambous d’où pendaient des drapeaux de prière effilochés par le vent..."

Photo : Anzo Insaan, Photography Club of Sikkim.
 

 

jeudi 27 mai 2021

Scarabée doré

"Si la jeune mariée ne ressemble pas à une espèce de gros scarabée doré, c’est le déshonneur pour les deux familles..."

                        Extrait de Contrebande, carrom et funérailles célestes, aux Éditions du 38.

 


 https://www.amazon.fr/Contrebande-carrom-fun%C3%A9railles-c%C3%A9lestes-Himalaya-ebook/dp/B08QZY6YKR/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&dchild=1&keywords=Contrebande%2C+carrom+et+fun%C3%A9railles+c%C3%A9lestes&qid=1611475281&sr=8-1

mardi 25 mai 2021

Un bal...

Un bal dans le creux de la main. Réinterprétation amusante en théâtre de papier d’une œuvre de 1763 de Gabriel-Jacques de Saint-Aubin (1724-1780).

 



 

mardi 18 mai 2021

Crêtes abruptes et nuages...

"Devant eux s’étendait un enchevêtrement formidable de crêtes abruptes, émergeant des nuages qui rampaient dans les fonds de vallées..." 

Extrait de Le Talisman tibétain, série Crimes en Himalaya, Éditions du 38.

https://www.amazon.fr/talisman-tib%C3%A9tain-Crimes-Himalaya-ebook/dp/B075LLQV4L/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1505548475&sr=1-1&keywords=le+talisman+tib%C3%A9tain 

Photo: Meena Ongmu, Photography Club of Sikkim.


 

mardi 6 avril 2021

samedi 3 avril 2021

mercredi 31 mars 2021

Chiens et chats.

La jeune fille et son animal préféré est un thème éternel. En l'espèce, Fragonard a choisi le chien, et Jacqueline Marval le chat…

Jacqueline Marval (1866-1932) est une artiste française fauviste très talentueuse, injustement oubliée de nos jours. Je ne serais pas étonné que Fragonard lui ait, consciemment ou non, inspiré cette scène. Fragonard a en effet peint plusieurs toiles sur ce thème, comme la jeune fille jouant avec son chien (avec le chien noir) ou la très célèbre Gimblette (avec le chien blanc).

"Les gimblettes étaient de petites pâtisseries sèches en forme d’anneaux. Sur certaines version de ce tableau, la jeune fille tient d’une main une gimblette qu’elle tend au petit animal. Le rideau de lit, largement ouvert devant nous, rend invisible la jeune fille depuis la porte qu’on distingue sur la gauche. Cette porte indique la possibilité d’une effraction voyeuriste, l’effraction même que nous pratiquons en regardant cette scène intime. La queue du chien dissimule le sexe de la jeune fille. C’est la pliure rose sous son genou et l’ombre sous son mollet qui désignent, par un léger déplacement, le sexe interdit au regard." (Texte et photo du tableau de François Poulet-Mathis).

Ces célébrissimes scènes libertines furent copiées et gravées de multiples fois...

 



 
 
 
 
 


samedi 27 mars 2021

Dentelles...

Juste pour le plaisir, une engageante, détail d'un autoportrait de 1783 de Marie-Gabrielle Capet. On appelait ainsi ces dentelles fixées aux manches des robes. On les décousait pour les recoudre de robe en robe...



mercredi 24 mars 2021

Quelques bâtiments cubiques couverts de toits de planches...

"Thamzing Gompa était en tous points semblable à la plupart des monastères du Bhoutan : quelques bâtiments cubiques couverts de toits de planches à deux pans débordants, badigeonnés en blanc…"

Extrait de Tigres et Châtiments, aux Éditions du 38

 

https://www.amazon.fr/Tigres-ch%C3%A2timents-Himalaya-Bernard-Grandjean-ebook/dp/B089V69QXF 

 

Photo de l’auteur

 

La puce...

"PUCE. s.f. Sorte d'insecte qui s'attache principalement sur la peau des hommes, des chiens, &c. " Dictionnaire de l...