mardi 28 mai 2019

Dépêchez-vous !

Dépêchez-vous, le mois du polar aux Éditions du 38 se termine ! Pour lire les enquêtes de Gopika en version numérique pour seulement 155 Roupies, enfin, je veux dire, 1,99 Euros pièce, il ne reste plus que quelques jours ! Mettez les vite sur votre tablette avant les longues journée grises et humides de la mousson !

https://www.editionsdu38.com/les-auteurs/bernard-grandjean/


lundi 27 mai 2019

Payons nos impôts !

À la différence d’aujourd’hui, au temps de la demoiselle de Rosling les contribuables français aimaient payer leurs impôts, comme le montre le texte de cette gravure :
"D’une taxe légère la douceur on impose
À un peuple tout prêt d’en accepter la loi
Heureux si l’on pouvait pour si modique chose
Acheter une paix aux vœux de notre Roi"
La « taxe par teste » (capitation) fut instaurée en 1695 sous Louis XIV pour financer les guerres royales. Supprimée 1698, elle fut recréée en 1701 pour financer la guerre de succession d’Espagne. Elle connut plusieurs augmentation au fil du temps et ne disparaîtra qu’en 1791, remplacée par la contribution mobilière.
Ne nous fions pas à cette gravure et son poème si bienveillant : il s’agit ici de propagande royale, destinée à faire passer la pilule…

 https://www.amazon.fr/demoiselle-Rosling-Bernard-Grandjean-ebook/dp/B01MY7A8DZ/ref=tmm_kin_swatch_0?_encoding=UTF8&qid=1455113932&sr=1-2

lundi 20 mai 2019

La mode leopard...

Au XVIIIe siècle, le motif léopard était très à la mode, en tissu imprimé quand il ne s'agissait pas de la fourrure de l'animal... Cela valait autant pour les femmes que pour les hommes, sauf que pour ces derniers, c'était tout l'habit qui pouvait être "léopard" ! En somme, Tarzan est un personnage très XVIIIe...





lundi 13 mai 2019

Pastel

Rosalba Carrera (1675-1757), la plus grande femme artiste vénitienne du XVIIIe siècle, imposa en France, lors de son séjour à Paris en 1720-21, la mode du portrait au pastel. Elle y fut accablée de commandes et d’honneurs, tant les Hyacinthe Rigault, Watteau, Maurice-Quentin de la Tour, etc., de même que les grands seigneurs de son époque, jusqu’au Régent, l’admiraient. 
Sa virtuosité était impressionnante : le portrait était exécuté sans le moindre dessin préalable. Ses couleurs suaves et ses nymphes vaporeuses feront école. On lui reprochait parfois d’enjoliver le modèle, mais si les portraits féminins de Rosalba sont souvent empreints d’un érotisme charmant, ses autoportraits sont sans concession.
Au XVIIIe siècle, les scènes bibliques ou mythologiques étaient des moyens commodes de contourner la censure, mais on peut légitimement se demander ce que Rosalba a vraiment voulu illustrer avec sa «charité embrassant la justice» (toile disparue, seulement connue par une gravure). Certaines de ses allégories, comme cet automne avec petit lapin, sont tout aussi ambigües.
Rosalba Carriera, femme célibataire et aimant voyager, disait « fuir les libertins ». Néanmoins, ses œuvres, commandes d’aristocrates des deux sexes, adressent souvent un clin d’œil appuyé à leurs passions…

Rosalba Carriera : Allégorie de l’automne.

Rosalba Carriera : La charité embrassant la vertu

mardi 7 mai 2019

Rêverie...

"...A cette même place, une jeune fille très belle était jadis venue s’asseoir pour lire, rêver, ou pleurer..."
Extrait de « La demoiselle de Rosling », de Bernard Grandjean, aux Éditions du 38.
Illustration : Honoré Fragonard (1732-1799), rêverie (détail).



mercredi 1 mai 2019

Mois du polar aux éditions du 38 !

C'est le mois du polar aux Éditions du 38 : les versions numériques des romans sont à 1,99 euros ! Ça concerne bien sûr "Meurtre au moulin de la Zhern".
Avouez qu'à ce prix-là, comme c'est un moulin à eau, ça fait pas cher du mètre cube !
À retrouver sur le site de l'éditeur et sur les sites marchands, genre Amazon et autres.



À l'horizon...

Les trois premiers romans de votre serviteur publiés par O barra O Edizioni ayant bien marché tant sur le net qu'en librairie, l'...