"Avec ses longues cornes effilées et ses poils hirsutes, il donnait une redoutable impression de force et de sauvagerie..."
Extrait de La vallée du yak sauvage, aux Éditions du 38.
Photo Jampel Dorjee, Photography Club of Sikkim.
"Avec ses longues cornes effilées et ses poils hirsutes, il donnait une redoutable impression de force et de sauvagerie..."
Extrait de La vallée du yak sauvage, aux Éditions du 38.
Photo Jampel Dorjee, Photography Club of Sikkim.
"Les maisons des plus riches étaient construites en dur, mais au fil des moussons, le béton prenait des couleurs douteuses qui lui déplaisaient. Il aimait la belle teinte de bois vieilli de la sienne et préférait encore l’odeur des planches moisies à celle du ciment humide"
Extrait de Le Talisman tibétain, aux Éditions du 38.
Photo : Kuldeep Mukhia, Photography Club of Sikkim.
— Je vous prie de défaire les boutons de ma robe et de dénouer mon corps baleiné. J’ai besoin de mieux respirer !
— Je suppose que vous voulez parler de votre corset ?
Dans la série "enrichissons notre vocabulaire"...
Au XVIIIe siècle, les parcs des châteaux s'ornent parfois de sculptures du type ci-dessous (celle-ci photographiée par l'auteur dans la parc Luisium, près de Dessau en Allemagne). Ces sculptures présentent une tête, ou un buste - généralement masculin - s'extirpant d'une gaine de pierre. Cela s'appelle en français un "terme", mot formé sur le nom du dieu romain des bornes, Terminus (en allemand, le mot employé est Herme, formé sur le nom du dieu Hermes). On retrouve ce motif en saillie sur les façades des bâtiments néo-classiques. Terminus était un dieu gentil et très aimé, car il évitait les conflits entre voisins.
Voilà, le cour est fini, tout le monde descend !
Le petit pont bossu, lancé sur un ruisseau, un bras d'eau ou un canal, est au XVIIIe siècle un élément courant du décor d'un parc (ici celui de Wörlitz en Allemagne - photo de l'auteur). Mais il ne sert pas qu'à la promenade, il incite à la réflexion ; car il possède une signification philosophique bien connue à l'époque: d'abord on monte, puis on atteint un sommet, et enfin on redescend ... l'image même du parcours de l'homme de la naissance à la mort !
Finies les vacances... Comme cette page est silencieuse depuis un certain temps, voici quelques nouvelles :
"L’ensemble était d’un style plaisant, oscillant entre Tibet, Bhoutan et Népal, propre à combler les touristes..."
Extrait de "Panique à l’hôtel Kangchenjunga" (série Crimes en Himalaya), publié aux Éditions du 38.
Crédit photo : Anzo Insaan, Photography Club of Sikkim.