samedi 23 septembre 2017

La comtesse des Ténèbres, toujours...

Mon petit roman, le testament de la comtesse des Ténèbres, fondé sur les interrogations autour de la vie extraordinaire de la fille de Louis XVI et Marie-Antoinette, poursuit sa petite vie ici :

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Ci-dessous, différents portraits miniatures de Mme Royale, entre sa sortie du Temple et son séjour à Vienne, puis son mariage en Courlande. Elle y apparaît plus ou moins favorisée par la nature - ou par l'artiste - dotée d'un nez parfaitement droit sur le portrait de 1792 (le 1er dans l'ordre de présentation ci-dessous), proche de celui de sa mère. Ce portrait la présente donc à la veille de son incarcération, avec ses parents, à la prison du Temple. La Duchesse d'Angoulême avait, selon ses contemporains, un nez très busqué, "à la Bourbon". Plus les années passent (comme l'indique le style vestimentaire), plus le nez devient busqué ! Par ailleurs, on distingue clairement sur presque tous ces portraits les yeux bleus de la princesse, devenus curieusement noirs semble-t-il chez la Duchesse d'Angoulême. Le 5e portrait est daté de 1799 (l'année où elle quitte Vienne pour aller se marier à la cour du Tsar). Comment ne pas se poser de questions ?...
Il serait intéressant qu'un spécialiste se penche sur l'évolution physique traduite par les innombrables représentations de la princesse (en éliminant les portraits post mortem, et ceux de pure fantaisie, qui doivent être en majorité). J'ignore si cet exercice a déjà été fait !

(Ces images ont été trouvées sur internet sans précisions. Je n'en connais ni les auteurs ni les ayant-droits et je m'en excuse).





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