mercredi 22 septembre 2021

Il suffit de passer le pont...

Le petit pont bossu, lancé sur un ruisseau, un bras d'eau ou un canal, est au XVIIIe siècle un élément courant du décor d'un parc (ici celui de Wörlitz en Allemagne - photo de l'auteur). Mais il ne sert pas qu'à la promenade, il incite à la réflexion ; car il possède une signification philosophique bien connue à l'époque: d'abord on monte, puis on atteint un sommet, et enfin on redescend ... l'image même du parcours de l'homme de la naissance à la mort !


 

jeudi 16 septembre 2021

Work in progress...

Finies les vacances... Comme cette page est silencieuse depuis un certain temps, voici quelques nouvelles :

J’ai commencé il y a longtemps un troisième roman de la série "Incursions temporelles", publiée par les Éditions du 38. Ces romans mêlent allégrement les époques, la nôtre et le XVIIIe siècle pour les deux premiers. L’action de celui-ci se situe entre notre temps et le début du XXe siècle, pour l’essentiel dans ce lieu mythique de la pensée européenne que fut la colonie anarchiste, communiste, philosophique, naturiste et végétarienne (tout ça, et plus encore !) de Monte Verita. 
Mais après plusieurs versions, et un nombre incalculable d’heures de travail, ce roman ne me paraît toujours pas parvenu à maturité… Pour me décontracter, je le laisse reposer, en profitant de la récré pour écrire tout autre chose, un roman policier ... gallo-romain. Les héros en sont un médecin militaire retiré du service et une jeune fille nommée Alauda (l’alouette à la fois en langue latine et en langue gauloise); l'action se situe dans la région de la ville de Vesontio (l'actuelle Besançon, département du Doubs, France). J’arrive au bout, et je suis impatient de le relire d’une traite, histoire de vérifier si l’histoire a un intérêt…
 
 

 
 

Les gardes-côtes...

Le théâtre et l’opéra sont au XVIIIe siècle une distraction très populaire. La vie des vedettes est déjà autant scrutée qu’aujourd’hui par l...