lundi 25 décembre 2017

Tsampa !


« Tu sais, quand j’étais enfant, au Tibet, on n’avait guère que ça tous les jours, de la tsampa trempée dans du thé ! »
Extrait de Les évadés du toit du monde, par Bernard Grandjean, Éditions du 38.


 
Petite mangeuse de tsampa (FaceBook - United Nations for a Free Tibet).


vendredi 22 décembre 2017

Une grande tente de feutre blanc...


« …Une belle grande tente en feutre blanc, avec les huit symboles auspicieux du Bouddhisme cousus sur le toit, en appliqué… Je dois l’avoir en photo quelque part ! »

Extrait de La vallée du yak sauvage, de Bernard Grandjean aux Éditions du 38.


Le roman est à retrouver ici :






(Photos prises à Darjeeling par l’auteur en 1982)

lundi 18 décembre 2017

Bijoux et vêtements...


« — Je suis curieux de savoir où vous avez trouvé ces bijoux et ces vêtements, demanda Tenzin.
— Empruntés à ma copine Jamyang Dölkar vous savez, ma collègue de l’école tibétaine, celle qui essaie de m’apprendre votre langue impossible… »

Extrait des Évadés du toit du monde, Éditions du 38.
L’auteur de cette jolie photo trouvée sur internet est inconnu de moi. Peut-être Matthieu Ricard ?


vendredi 15 décembre 2017

Anarkali


"Elle se doutait que la plupart des femmes présentes au cocktail porteraient des ensembles modernes très élégants. Au moins, se dit-elle, avec cet Anarkali classico-ringard, je me distinguerai !"
Extrait de Les évadés du toit du monde, de Bernard Grandjean, aux Éditions du 38.


Un Anarkali (en ourdou "fleur de pomme grenat"), est un ensemble indien - tunique longue-pantalon étroit - très élégant, porté pour les mariages, etc. Le nom de ce vêtement féminin vient d’Anarkali, une esclave courtisane célèbre, emmurée vivante par l’Empereur Akbar pour avoir séduit son fils Salim, le futur grand empereur Jahangir. Cette histoire tragique et romantique est très présente dans la littérature et le cinéma indien.
Illustrations : deux exemples d’Anarkali.





mercredi 13 décembre 2017

La queue du cobra...

"J’ai horreur de marcher dans les mauvaises herbes quand elles sont hautes, soupira Gopika. J’ai toujours peur de poser le pied sur la queue d’un cobra..." 

Extrait de La vallée du yak sauvage de Bernard Grandjean, aux Éditions du 38.






  
https://www.amazon.fr/dp/B0784CKLX9/ref=sr_1_1?s=digital-text&ie=UTF8&qid=1511601848&sr=1-1&keywords=la+vall%C3%A9e+du+yak+sauvage

lundi 4 décembre 2017

Un yak inquiétant...

"...Elle ressentit une bouffée de plaisir, qui lui fit allonger le bras pour gratouiller le cou de l’animal. Mais le yak Tséring resta insensible à ce geste de tendresse."

Il est assez souvent question de yak dans le tome III de "Crimes en Himalaya" (La Vallée du yak sauvage), et notamment d'un certain yak nommé Tséring, "presque aussi gros qu'un yak sauvage". J'ai fait pas mal de photos de yaks durant mes voyages, mais celle-ci, de Pozan Kerongi (du Photography Club of Sikkim), me semble parfaitement illustrer l'allure inquiétante du yak Tséring, qui fait si peur à mon héroïne Gopika...


La gaze légère...

"Dans tes beaux yeux, à la pudeur sauvage Succèdent les molles langueurs, Qui de nos plaisirs enchanteurs Sont à la fois la suite et le...