"...Elle ressentit une bouffée de plaisir, qui lui fit allonger le bras
pour gratouiller le cou de l’animal. Mais le yak Tséring resta
insensible à ce geste de tendresse."
Il est assez souvent question
de yak dans le tome III de "Crimes en Himalaya" (La Vallée du yak
sauvage), et notamment d'un certain yak nommé Tséring, "presque aussi
gros qu'un yak sauvage". J'ai fait pas mal de photos de yaks durant mes
voyages, mais celle-ci, de Pozan Kerongi (du Photography Club of
Sikkim), me semble parfaitement illustrer l'allure inquiétante du yak
Tséring, qui fait si peur à mon héroïne Gopika...
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