J’étais là, pâmée,
Ignorant le désordre de mes cheveux noirs
Combien m’est cher celui qui d’abord les releva
Izumi Shikibu (circa 970). Traduction Fumi Yosano - Orphée 1992.
La beauté de la poésie japonaise m’émerveille chaque fois que j’en ouvre un recueil...
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