"Le jour n’est pas encore levé lorsqu’ils franchissent la porte de l’est, qu’un garde mal réveillé ouvre pour eux. Piqués par l’air vif, les yaks sont d’abord d’humeur fantasque, mais quelques tractions douloureuses sur les naseaux les ramènent vite à la raison."
Extrait de "Le yak aux cornes d’or", (roman historique et d'aventure au Tibet), par Bernard Grandjean.
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Illustration : Stupa-porte, Ladakh, septembre 1977. Photo de l’auteur.
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