"... Il aurait pu rester ainsi des heures innombrables, face à ce
miracle apparu sous ses yeux éblouis. A la différence qu’il n’avait pas devant
lui un marbre de Pierre Julien ou de Gabriel
de Grupello, mais une fille de chair et de sang, dont les magnifiques anglaises
noires ruisselaient sur le tissu fleuri du canapé."
Extrait de La
demoiselle de Rosling, aux Éditions du 38.
Bronze de Gabriel de Grupello (Eve, 1700-1705) |
Marbre de Pierre Julien (1731-1804), Musée du Louvre. |
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