"Après une longue séance de pleurs et de lamentations, il la prend gentiment par les épaules et l’emmène sur la terrasse, face au Kangchenjunga :
— Tu vois cette montagne ?
— Il faudrait être aveugle pour ne pas la voir, renifle-t-elle.
— Eh bien, le Tibet est juste derrière !"
— Tu vois cette montagne ?
— Il faudrait être aveugle pour ne pas la voir, renifle-t-elle.
— Eh bien, le Tibet est juste derrière !"
Extrait de "Moi, Das, espion au Tibet".
Illustration: Nichola Rœrich, vue du Kangchenjunga, 1944. |
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